J'adore les aubergines : en salade, en curry, en beignets ou en gratin. Toutes mes recettes ici.
Pour la moussaka j'ai l’habitude d'ajouter des pommes de terre et vous allez voir pourquoi :).
Essayez avec une couche de pomme de terre, surtout si vous voulez faire manger des aubergines aux enfants.
Le plus difficile est de faire une photo appétissante de ce plat mais je vous assure il a été vraiment très apprécié par tous: petits et grands.
Le plus difficile est de faire une photo appétissante de ce plat mais je vous assure il a été vraiment très apprécié par tous: petits et grands.
La moussaka (en grec μουσακάς ; en turc musakka ; en serbe мусака; en roumain musaca ; en bulgare мусака, en arménien Մուսակա, en arabe مسقعة, en arabe tunisien tajine msakaa) est un plat traditionnel des Balkans et du Moyen-Orient mais le plus souvent associé à la Grèce ou la Turquie, composé d'aubergines, d'oignons et de viande hachée.
Le mot moussaka vient de l'arabe musaqqa'a, signifiant « frais », parce qu'elle est ainsi servie dans le monde arabe.
La version grecque et moderne du plat, datant de 1910 et due au cuisinier Nikolaos Tselementes, est la plus connue en dehors de la région; elle consiste traditionnellement en des couches de viande de mouton hachée, des tranches d'aubergines et de tomate, recouverts d'une sauce blanche et mis au four.
La moussaka turque n'a pas de couches alternantes ; elle est préparée avec des morceaux d'aubergines sautées et frites, des poivrons verts, des tomates, des oignons et de la viande hachée. Elle est mangée accompagnée de cacık ou de riz pilaf.
Il existe aussi des variantes avec des courgettes, des carottes et des pommes de terre. Dans le monde arabe, la moussaka est une salade cuite faite de tomates et aubergines, similaire à la caponata italienne et habituellement servie froide comme mezze.
La version grecque et moderne du plat, datant de 1910 et due au cuisinier Nikolaos Tselementes, est la plus connue en dehors de la région; elle consiste traditionnellement en des couches de viande de mouton hachée, des tranches d'aubergines et de tomate, recouverts d'une sauce blanche et mis au four.
La moussaka turque n'a pas de couches alternantes ; elle est préparée avec des morceaux d'aubergines sautées et frites, des poivrons verts, des tomates, des oignons et de la viande hachée. Elle est mangée accompagnée de cacık ou de riz pilaf.
Il existe aussi des variantes avec des courgettes, des carottes et des pommes de terre. Dans le monde arabe, la moussaka est une salade cuite faite de tomates et aubergines, similaire à la caponata italienne et habituellement servie froide comme mezze.
Les variantes macédonienne, bulgare, serbe, bosniaque, monténégrine et roumaine sont préparées avec des pommes de terre ou des courgettes et non des aubergines. Elles ne contiennent pas non plus de sauce blanche.
Dans toutes ces variantes, on ajoute généralement des herbes (origan, thym, feuilles de laurier...) et des épices (cannelle, piment de la Jamaïque, poivre noir...).
Je dédie cette recette à tous les pays balkaniques et en plus aujourd’hui c'est la fête nationale de la Macédoine.
Dans toutes ces variantes, on ajoute généralement des herbes (origan, thym, feuilles de laurier...) et des épices (cannelle, piment de la Jamaïque, poivre noir...).
C'est l'occasion parfaite de m'associer à Sophie du très joli blog La tendresse en cuisine et de « Cuisiner pour la paix » .
Par cette initiative Sophie nous propose de l’accompagner, pour saluer et honorer les habitants d’un pays le jour de sa fête nationale.
Ingrédients (6 personnes):
2 aubergines
700 g de viande hachée (350 g bœuf haché par mon boucher et 350 g de mélange porc+veau)
6 pommes de terre
200 g coulis de tomate
700 g de viande hachée (350 g bœuf haché par mon boucher et 350 g de mélange porc+veau)
6 pommes de terre
200 g coulis de tomate
un gros oignon
2 gousses d'ail
2 tomates
un poivron rouge
thym
150 g de fromage rappé
sel, poivre, paprika
sel, poivre, paprika
20 cl d'eau
4-5 c à s d'huile d'olive
Préparation:
Faites cuire les pommes de terre avec la peau dans l'eau bouillante salée environ 30 minutes.
Coupez les aubergines en rondelles pas trop épaisses, faites les cuire à la poêle dans un filet d'huile d'olive. Disposez les ensuite sur du papier absorbant.
Peler et émincer l'oignon et l'ail.
Les faire revenir dans un filet d'huile d'olive, puis ajouter le poivron rouge coupé en dès et la viande.
Bien mélanger pour avoir une composition homogène.
Mettre le thym, le paprika, salez, poivrez.
Ajoutez le coulis de tomate et un verre d'eau.
Laissez mijoter 10-15 minutes, réservez.
4-5 c à s d'huile d'olive
Préparation:
Faites cuire les pommes de terre avec la peau dans l'eau bouillante salée environ 30 minutes.
Coupez les aubergines en rondelles pas trop épaisses, faites les cuire à la poêle dans un filet d'huile d'olive. Disposez les ensuite sur du papier absorbant.
Peler et émincer l'oignon et l'ail.
Les faire revenir dans un filet d'huile d'olive, puis ajouter le poivron rouge coupé en dès et la viande.
Bien mélanger pour avoir une composition homogène.
Mettre le thym, le paprika, salez, poivrez.
Ajoutez le coulis de tomate et un verre d'eau.
Laissez mijoter 10-15 minutes, réservez.
Une fois cuites, passez les pommes de terre immédiatement sous l'eau froide pour que la peau se décolle facilement. Pelez-les et coupez-les en lamelles.
Beurrez votre plat à gratin.
Répartir une couche de lamelles de pommes de terre, recouvrir d'une couche d'aubergines et d'une couche de viande. Saupoudrez de gruyère râpé.
Répartir une couche de lamelles de pommes de terre, recouvrir d'une couche d'aubergines et d'une couche de viande. Saupoudrez de gruyère râpé.
Recommencez : une couche des légumes (pommes de terre, aubergines et lamelles des tomates), recouvrir de la viande restante et finissez avec une couche des légumes.
Saupoudrez de gruyère râpé.
Un peu de culture?
Les Balkans sont une des trois « péninsules » d'Europe du Sud, mais cette appellation traditionnelle est parfois contestée en l'absence d'un isthme : les géographes préfèrent le terme de
Macédoine |
« région ». Elle est bordée par des mers sur trois côtés : l'Adriatique et l'Ionienne à l'ouest, la mer Égée au sud et la mer de Marmara et la mer Noire à l'est.
Au nord, on la délimite généralement par les cours du Danube, de la Save et de la Kupa. Cette région couvre une aire totale de plus de 550 000 km2 et regroupe une population de près de 53 millions d’habitants.
Bien que l’appellation Balkan ne soit pas attestée avant le xive siècle, les protochronistes, influents dans les Balkans (leurs thèses sont enseignées dans les écoles) attribuent à ce nom une grande ancienneté et le font remonter au proto-indo-européen bhelg (« arrête, crête, faîte ») via bala-khana
(« maison élevée » en persan, une langue iranienne) ou via balkô (« chaîne rocheuse » en proto-germanique, à l’origine du vieux frison balka, du norrois balkr et du vieil anglais balca duquel dérive balk « bloc » en anglais moderne).
Quoi qu’il en soit, c’est en 1808 que l’expression « péninsule des Balkans » (Balkanhalbinsel) apparaît chez le géographe allemand Johann Zeune . En élargissant ainsi le terme de « Balkans » bien au-delà du Grand Balkan, Zeune lui donna la signification antique du nom « Haemos » qui désignait toutes les chaînes de l’Europe du Sud-Est, depuis les Alpes slovènes jusqu’à la mer Noire, avec une importance analogue aux Apennins pour la péninsule italienne. Malgré les critiques formulées par des géographes comme Theobald Fischer dès 1839, cette idée, discutable sur le plan géo morphologique, perdure dans le domaine politique et culturel, et comme concept géographique aux limites d’ailleurs variables selon les auteurs.
Au xixe siècle, lors des combats pour la libération des divers peuples de la région contre les dominations de l'Empire ottoman et de l'Autriche-Hongrie, une certaine condescendance a donné, dans l’historiographie occidentale, une connotation péjorative au terme « Balkans » : ainsi,
Slovenia, Primorska, Piran, Old Town |
Montenegro, Bay of Kotor, Kotor, Elevated view of town and mountain |
« balkanisation » désigne un processus de déstructuration politique ; en fait, cette « balkanisation » a surtout été voulue par le congrès de Berlin. Tout cela a conduit à utiliser le terme plus neutre
d'« Europe du Sud-Est ».
The Old Bridge in Mostar, Bosnia and Herzegovina |
En totalité:
Albanie ;
Bosnie-Herzégovine ;
Bulgarie ;
Kosovo (état non reconnu par l'ONU) ;
Macédoine (état reconnu sous le nom d'Ancienne République yougoslave de Macédoine) ;
Monténégro ;
Grèce.
Albanie ;
Bosnie-Herzégovine ;
Bulgarie ;
Kosovo (état non reconnu par l'ONU) ;
Macédoine (état reconnu sous le nom d'Ancienne République yougoslave de Macédoine) ;
Monténégro ;
Grèce.
En partie :
Serbie : les territoires au sud du Danube : Serbie centrale : 60% ;
Croatie : la Dalmatie, l'Istrie ainsi que les territoires au sud de la Save : 50 % ;
Slovénie : le Sud de la Slovénie : 27 % ;
Roumanie : la Dobrogée : 6 % ;
Turquie : la Thrace orientale, représentant 3 % du territoire du pays : c'est la partie européenne de la Turquie, comprenant les îles Gökçeada et Bozcaada, le reste étant en Asie Mineure.
Serbie : les territoires au sud du Danube : Serbie centrale : 60% ;
Croatie : la Dalmatie, l'Istrie ainsi que les territoires au sud de la Save : 50 % ;
Slovénie : le Sud de la Slovénie : 27 % ;
Roumanie : la Dobrogée : 6 % ;
Turquie : la Thrace orientale, représentant 3 % du territoire du pays : c'est la partie européenne de la Turquie, comprenant les îles Gökçeada et Bozcaada, le reste étant en Asie Mineure.
Albanie- The Roman bouleuterion or monument of Agonothetes, ruins of the Greek-Roman city of Apollonia, Albania, 2th century BC. |
-les Balkans occidentaux : Albanie, Bosnie-Herzégovine, Croatie, Kosovo, Macédoine, Monténégro, Serbie et Slovénie ;
-les Balkans orientaux : Bulgarie, Roumanie et Turquie ;
-les Balkans méridionaux : Grèce (on y rattache ses îles, bien que dans la géographie du xixe siècle, celles proches de la côte turque étaient considérées comme asiatiques).
Selon le critère climatique on distingue :
-les Balkans continentaux : Bosnie-Herzégovine, Bulgarie, nord de la Croatie, Kosovo, Macédoine, Nord du Monténégro, Roumanie, Serbie et la majeure partie de la Slovénie ;
l-es Balkans méditerranéens: Albanie, Sud de la Croatie, Grèce, Sud du Monténégro, la côte de la Slovénie et la Turquie d'Europe.
-les Balkans continentaux : Bosnie-Herzégovine, Bulgarie, nord de la Croatie, Kosovo, Macédoine, Nord du Monténégro, Roumanie, Serbie et la majeure partie de la Slovénie ;
l-es Balkans méditerranéens: Albanie, Sud de la Croatie, Grèce, Sud du Monténégro, la côte de la Slovénie et la Turquie d'Europe.
Selon le critère linguistique on distingue trois groupes de pays :
- les Balkans aborigènes : Albanie, Grèce, Kosovo et Roumanie ;
- les Balkans slaves: Bosnie-Herzégovine, Bulgarie, Croatie, Macédoine, Monténégro, Serbie et Slovénie ;
- les Balkans turcs : Turquie d'Europe.
- les Balkans aborigènes : Albanie, Grèce, Kosovo et Roumanie ;
- les Balkans slaves: Bosnie-Herzégovine, Bulgarie, Croatie, Macédoine, Monténégro, Serbie et Slovénie ;
- les Balkans turcs : Turquie d'Europe.
Man cooking food, Prishtina, Kosovo |
St Nicholas church and Old town of Perast in Mntenegro |
Selon le critère religieux on distingue aussi trois groupes de pays :
- les Balkans à majorité chrétienne catholique : Croatie et Slovénie ;
- les Balkans à majorité chrétienne orthodoxe : Bulgarie, Grèce, Macédoine, Monténégro, Roumanie et Serbie ;
- les Balkans à majorité musulmane : Albanie, Kosovo et Turquie d'Europe ;
La Bosnie-Herzégovine est un cas à part, chrétiens des deux confessions d'une part et musulmans de l'autre étant en nombre presque égal.
- les Balkans à majorité chrétienne catholique : Croatie et Slovénie ;
- les Balkans à majorité chrétienne orthodoxe : Bulgarie, Grèce, Macédoine, Monténégro, Roumanie et Serbie ;
- les Balkans à majorité musulmane : Albanie, Kosovo et Turquie d'Europe ;
La Bosnie-Herzégovine est un cas à part, chrétiens des deux confessions d'une part et musulmans de l'autre étant en nombre presque égal.
Traditional Bulgarian wedding |
- les Balkans au passé communiste: Albanie, Bulgarie, Roumanie ayant eu une économie socialiste planifiée par l'état sans secteur privé, et Bosnie-Herzégovine,Croatie, Kosovo, Macédoine, Monténégro, Serbie et Slovénie ayant eu une économie socialiste avec une dose d'autogestion, un modeste secteur privé (micro-entreprises) et d'ouverture sur l'économie de marché du monde capitaliste ;
- les Balkans au passé capitaliste: Grèce et Turquie d'Europe.
Selon le critère politique et social actuel on distingue deux groupes de pays :
- les Balkans membres de l'Union européenne : Bulgarie, Croatie, Grèce, Roumanie et Slovénie ;
- les Balkans en attente: Albanie, Bosnie-Herzégovine, Kosovo, Macédoine, Monténégro, Serbie et Turquie.
Enfin selon le critère militaire on distingue trois groupes de pays :
- les Balkans membres de l'OTAN: Albanie, Bulgarie, Croatie, Grèce, Roumanie, Slovénie et Turquie
- les Balkans sous protection de l'OTAN: Bosnie-Herzégovine, Kosovo et Macédoine ;
- les Balkans membres du Partenariat pour la Paix: Monténégro et Serbie.
- les Balkans membres de l'OTAN: Albanie, Bulgarie, Croatie, Grèce, Roumanie, Slovénie et Turquie
- les Balkans sous protection de l'OTAN: Bosnie-Herzégovine, Kosovo et Macédoine ;
- les Balkans membres du Partenariat pour la Paix: Monténégro et Serbie.
Serbie |
Roumanie |
Le géographe Georges Prévélakis et les historiens aroumains Papacostea et Neagu Djuvara expliquent cet héritage commun par l'existence de six ou sept couches d'un mille feuille historique balkanique qui feraient aujourd'hui de cette région, une aire culturelle à part entière, et qui, selon leurs termes, définissent un Homo balcanicus :
- le substrat thraco-illyre et hellène, qui commence lors des premières migrations indo-européennes, deux mille ans avant notre ère, et agit jusqu'aux premières constructions étatiques de la région (décrites dans l'Iliade neuf siècles avant notre ère, mais probablement antérieures) ;
- l'influence macédonienne et la civilisation hellénistique, inaugurées par le règne de Philippe II de Macédoine trois siècles avant notre ère, et jusqu'à la prise de la Grèce par Rome ;
- le substrat thraco-illyre et hellène, qui commence lors des premières migrations indo-européennes, deux mille ans avant notre ère, et agit jusqu'aux premières constructions étatiques de la région (décrites dans l'Iliade neuf siècles avant notre ère, mais probablement antérieures) ;
- l'influence macédonienne et la civilisation hellénistique, inaugurées par le règne de Philippe II de Macédoine trois siècles avant notre ère, et jusqu'à la prise de la Grèce par Rome ;
- la romanisation, qui a contribué à l'unification balkanique à travers le réseau des routes et des cités, et s'est poursuivie par une synthèse culturelle dans le bassin du bas-Danube. Celle-ci se diffuse par l'intermédiaire des Thraco-romains et de leurs descendants les « Valaques » (Aroumains et Roumains), populations pastorales qui survivent sur les piémonts, tandis que dans les plaines s'installeront les Slaves ;
- l'Empire romain d'Orient dit « byzantin » ;
- les Slaves (migrations slaves à partir du ve siècle, l'Empire bulgare du viie au xv siècle et l'Empire serbe au xive siècle) ;
- l'Empire ottoman et son influence sur les peuples des Balkans, dont une minorité a adopté l'islam, tandis que la majorité a lutté contre l'occupation turque, de 1453 au traité de Lausanne (1923), en passant par les sociétés secrètes du xixe siècle ;
-les séquelles de la guerre froide (traumas des périodes de dictatures, communistes en Albanie, Bulgarie, Roumanie et Yougoslavie pendant quarante-cinq ans en moyenne, militaires mais moins durables en Grèce et en Turquie).
Les linguistes, en tout cas, affirment qu'il existe une Union linguistique balkanique qui se manifeste, à travers la diversité des langues d'origines différentes (y compris le turc qui n'est pas indo-européen) par des traits syntaxiques, grammaticaux et phonologiques communs.
(source: wikipedia +http://www.gettyimages.fr/)
- l'Empire romain d'Orient dit « byzantin » ;
- les Slaves (migrations slaves à partir du ve siècle, l'Empire bulgare du viie au xv siècle et l'Empire serbe au xive siècle) ;
- l'Empire ottoman et son influence sur les peuples des Balkans, dont une minorité a adopté l'islam, tandis que la majorité a lutté contre l'occupation turque, de 1453 au traité de Lausanne (1923), en passant par les sociétés secrètes du xixe siècle ;
-les séquelles de la guerre froide (traumas des périodes de dictatures, communistes en Albanie, Bulgarie, Roumanie et Yougoslavie pendant quarante-cinq ans en moyenne, militaires mais moins durables en Grèce et en Turquie).
Les linguistes, en tout cas, affirment qu'il existe une Union linguistique balkanique qui se manifeste, à travers la diversité des langues d'origines différentes (y compris le turc qui n'est pas indo-européen) par des traits syntaxiques, grammaticaux et phonologiques communs.
(source: wikipedia +http://www.gettyimages.fr/)
Merci ma Cata pour cette si gourmande recette pour saluer les Macédoniens avec "Cuisiner pour la paix". Moi qui suis fan des aubergines, tu imagines... Gros bisous ma belle
RépondreSupprimerC'est tout à fait délicieux la moussaka mais avec des pommes de terre une excellente idée.Bisous et bonne journée
RépondreSupprimerQuel beau voyage que je fais, merci pour toutes ces photos, en plus j’adore la moussaka
RépondreSupprimerBisous
Merci pour la super recette, j'adore l'idée des pommes de terre et surtout pour le reportage,je rêve bien sûr de visiter la Croatie, la Slovénie, enfin tous les pays des Balkans ou presque !
RépondreSupprimerMerci pour ce petit historique et cette belle recette !
RépondreSupprimerTout à fait le genre de plat que j'aime :-)
RépondreSupprimerMerci pour ce petit voyage impromptu.
Belle journée
Gabrielle
merci pour cette leçon d'histoire. J'adore votre blog
RépondreSupprimerMerci aussi, ça me touche beaucoup
RépondreSupprimerJ'aime tant la moussaka, merci pour ta version Cata (car je n'y mets pas de pomme de terre, mais je testerai la prochaine fois !)
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