Ça sent bon et j'adore l'odeur du coing cuit.
Voici une confiture sans vrai sucre comme celle de fraise-framboises ou celle d'abricots .
Je suis conquise par cette recette avec de la pectine, que j'ai improvisé au début mais qui est une réussite d'après moi tenant compte qu'elle est sans vrai sucre..
Il faut toutefois bien-sur bien fermer vos pots stérilisés .
Le coing est le fruit du cognassierIl faut toutefois bien-sur bien fermer vos pots stérilisés .
Le terme « marmelade », signifiait à l'origine « confiture de coing ».
Il dérive du portugais marmelada, qui a conservé ce sens, et dérive du nom portugais du fruit marmelo.
En Espagne, au Venezuela, en Argentine, au Chili et en Uruguay, il est cuit pour faire un bloc de pâte rougeâtre appelé dulce de membrillo consommé en sandwich avec du manchego.
En Espagne, au Venezuela, en Argentine, au Chili et en Uruguay, il est cuit pour faire un bloc de pâte rougeâtre appelé dulce de membrillo consommé en sandwich avec du manchego.
Dans la cuisine maghrébine, le coing est un ingrédient des tajines préparées avec de l'épaule et du carré de côtelettes de mouton, ou jarret de veau.
Dans les Balkans, on fabrique un alcool de coing.
Dans certaines régions d'Afghanistan, les graines de coing sont recueillies et bouillies, puis ingérées pour lutter contre la pneumonie.
Selon la tradition locale maltaise, une cuillère à café de confiture dissoute dans une tasse d'eau bouillante soulage l'inconfort intestinal.
Le coing, dont certains s’attachent à penser qu’il était la pomme d’or du jardin des Hespérides, aurait, confit au miel, calmé les pleurs et les agitations du jeune Zeus.
Dans les Balkans, on fabrique un alcool de coing.
Dans certaines régions d'Afghanistan, les graines de coing sont recueillies et bouillies, puis ingérées pour lutter contre la pneumonie.
Selon la tradition locale maltaise, une cuillère à café de confiture dissoute dans une tasse d'eau bouillante soulage l'inconfort intestinal.
Le coing, dont certains s’attachent à penser qu’il était la pomme d’or du jardin des Hespérides, aurait, confit au miel, calmé les pleurs et les agitations du jeune Zeus.
L’astringence du coing due à ses tanins, ainsi que celles dues à ses fibres (pectines) sont les principales propriétés de ce fruit en médecine Hippocratique.
Les vertus étaient nombreuses : surtout digestives et antitoxiques (remède favorisant la digestion, soignant les diarrhées, les entérites, antidote contre les poisons, remède contre la toux et autres pharyngite ou laryngite, contre les brûlures, les engelures, les gerçures des lèvres et … les hémorroïdes, grâce à une décoction faite avec le mucilage entourant les graines.(source: https://fr.wikipedia.org/)
1 beau coing