Aujourd'hui c'est le Pâques Orthodoxe. « Christ est ressuscité! ».
Pendant la période de Pâques, les fidèles orthodoxes se saluent par « Christ est ressuscité » à quoi l'autre répond « Il est vraiment ressuscité » ou « En vérité, il est ressuscité ».
Si vous n’aimez pas l'agneau cette recette saura vous réconcilier avec.
L'agneau pascal est un symbole dans les religions juive et chrétienne. Les juifs continuent à commémorer l'exode en célébrant la Pâque en sacrifiant un agneau. La fête de Pessa'h (passage) célèbre durant huit jours la libération du peuple d'Israël et la traversée de la mer Rouge.
Le sacrifice de l'agneau tire son origine d'un ordre de Dieu à Moïse, avant la traversée de la mer Rouge, pour immoler un agneau par famille. Le sang de l'agneau, répandu sur les portes des maisons des Hébreux avec une branche d'hysope, permettait de signaler à l'Ange de la Mort que ces maisons devaient être épargnées de la mort des premiers nés, qui ne devait frapper que les Égyptiens (une des dix plaies). Pour les chrétiens, la fête de Pâques est le passage de la mort à la vie par Jésus, victime innocente sacrifiée pour racheter les péchés des hommes. Ainsi, Jésus est identifié à l'agneau sacrificiel de la tradition juive. Jésus est aussi représenté par un agneau dans l'Apocalypse.
L'agneau symbolise également la soumission du chrétien à la volonté de Dieu, ainsi que les vertus d'innocence, de douceur et de bonté.(source: wikipedia)
Voici une recette roumaine d'agneau de Pâques au paprika doux comme en Transylvanie.
La viande est cuite longtemps à température basse et est servie souvent avec des salades comme : Salade de chou mariné , Salade de betterave au raifort ou Salade de pomme de terre .
Le piment doux comme toutes les variétés de piments est originaire d'Amérique du Sud et Centrale.
Le piment doux comme toutes les variétés de piments est originaire d'Amérique du Sud et Centrale.
En Europe les espèces les plus douces trouvent une première terre d'élection en Espagne.
Au XVIe siècle il atteint une nouvelle patrie d'adoption, la Hongrie, où ils devinrent dans un premier temps des plantes ornementales, en particulier pour les châteaux de la noblesse hongroise.
La fermeture de voies commerciales importantes par les turcs met alors sur le devant de la scène cette épice sous le nom de paprika et devient un élément emblématique de la cuisine locale.
À la fin du XIXe siècle, la poudre de paprika est l'épice nationale et bénéficie d'une renommée mondiale. En 1934, afin de protéger ses appellations, Paprika de Kalocsa et Paprika de Szeged, deux Décrets royaux hongrois réglementent précisément l'aire des deux zones géographiques de production principale, et par leur nationalisation permet de considérer ces deux paprikas, Kalocsa et Szeged, comme des biens nationaux.(source: wikipedia)
Autres recette à l'agneau ici.
Ingrédients : 10 portions
- 1 gigot d'agneau 2,3kg
- 2 c à s de paprika douce
- 1 oignon
- 5-6 gousses d'ail
- 1 poivron rouge
- sel, poivre
- 4 c à s d'huile
Préparation:
Placez votre gigot sur un long papier de cuisson. Salez, poivrez la viande.
Enduire le gigot avec l'huile et le paprika.
Enduire le gigot avec l'huile et le paprika.
Piquez le gigot et placez les gousses d'ail, coupez l'oignon et mettez le en-dessous et sur le gigot.
Fermez complètement le gigot dans le papier de cuisson.
Enveloppez le ensuite en papier d'aluminium et placez le dans un plat au four préchauffé à 140°C.
Oubliez-le 3 h.
Après 3 h sortez du four et enlevez les papiers de cuisson et d'aluminium.
Ajoutez 100 ml d'eau dans le plat, mettez sur le gigot le poivron rouge coupé et placez au four à découvert 1h à 180°C. Retournez-le après 30 minutes et arrosez le du jus de cuisson.
Sortez et laissez reposer la viande 30 minutes.
Tranchez le gigot et servez la garniture désirée: pommes de terre, flageolets, salade de chou mariné ....
Oh là là ! Terriblement appétissant ! L'association avec le paprika est change.
RépondreSupprimerBonne journée, bises.
Miam miam ton assiette fais bien envie.
RépondreSupprimerBonne joiurnée
Bisous
Quelle merveille ! Merci pour le rappel historique, très intéressant.
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